1. Lorsqu'on étudie un texte égyptien, il est d'usage d'en établir d'abord la lecture phonétique, mot par mot, au moyen des phonogrammes.

    On dit alors qu'on translittère le texte.

    La translittération des hiéroglyphes étant dépourvue de voyelles, on y intercale, pour en permettre la lecture des sons "voyelles".


  2. Les signes uni-consonne (UNILITERE) sont généralement utilisés pour les noms propres.